MONNAIES VII
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CHARLES VII LE VICTORIEUX - (30/10/1422-22/07/1461)
Blanc au briquet, 1er type 1017. Blanc au briquet, 1er type, 1436-1461, Dijon, briquet initial au droit et au revers, (Bill, 27,5 mm., 2 h., 2,65 g.) ( )
A/ (briquet)* KAROLVS* FRAnCORVm* REX, (ponctuation par une étoile à 5 rais). Écu de France entre trois couronnelles, dans un double trilobe ; un annelet à la pointe de l'écu.
R/ (briquet) SIT° nOmEn* DnI* BEnEDICTVm, (ponctuation par un annelet puis par une étoile à 5 rais). Croix cantonnée aux 1 et 4 d'un lis, aux 2 et 3 d'une couronnelle, dans un double quadrilobe.
C.694 - Mar.1677 (100 f.) - L.516 - Dy.522 - Dumas.20/6-1-5. Flan irrégulier.
RRR. TTB

1500FF.

2500FF.


Monnaie de même coin de droit que l'exemplaire de la collection Marchéville. Monnaie provenant de la collection Pierre Prieur.
Le blanc au briquet du 1er type est une monnaie rarissime. Celle de la collection Marchéville (n°1677) s'est vendue 100 francs. Notre exemplaire est de même coin de droit que celui de cette collection qui est repris sous le n° 20/6-1 de l'ouvrage de Françoise Dumas. Ce même ouvrage illustre sous le n° 20/6-2 une monnaie de la Bibliothèque nationale, n° 1505 (coll. Hardelay) qui est également du même coin de droit .

Charles VII, après son entrée à Paris, va consolider son royaume. Il promulgue le Pragmatique Sanction en 1438 qui fixe le gallicanisme par rapport à la Papauté, garantissant les droits de l'Église de France. L'année suivante, c'est l'organisation de l'armée royale et la fin de l'Ost. Le dauphin Louis se révolte avec les Grands contre son père en 1440. Cette année-là, Gilles de Rais, "Barbe Bleue", le compagnon de Jeanne d'Arc, est exécuté. Jacques Cour devient grand argentier de France. Le traité de Tours instaure une trêve de cinq ans avec les Anglais. En 1449, les hostilités reprennent et Rouen tombe le 10 novembre 1449. Après la bataille de Formigny en 1450, Caen, Saint-Lô et Cherbourg tombent à leur tour. Dunois s'empare de Bayonne et de Bordeaux en 1451, mais Bordeaux est repris par Talbot en 1452. En 1453, la victoire De Castillon et la mort de Talbot met fin à la guerre de Cent Ans. Jacques Cour est arrêté et torturé, condamné, ses biens confisqués. Il s'enfuit auprès du pape à Rome. Louis révolté contre son père doit fuir le Dauphiné pour la Bourgogne en 1457. Charles meurt d'un cancer de la bouche en 1461 .

CHARLES VII LE VICTORIEUX - (30/10/1422-22/07/1461)
Blanc au briquet, 3e type 1018. Blanc au briquet, 3e type, (1436-1461), Dijon, briquet initial au droit et au revers, (Bill, 26,5 mm., 6 h., 2,90 g.) ( )
A/ (briquet) KAROLVS* FAnCORVm* REX, (ponctuation par une molette à 5 pointes). Écu de France entre trois couronnelles, dans un double trilobe ; un annelet à la pointe de l'écu.
R/ (briquet) SIT° nOmEn° DnI° BEnEDICTV, (ponctuation par deux annelets superposés). Croix cantonnée aux 1 et 4 d'un lis, aux 2 et 3 d'un briquet, dans un double quadrilobe.
C.695 - L.516b - Dy.524 - Dumas.20/5-1. Flan légèrement échancré. La croix du revers apparaît en creux au droit.
RR. TTB

1500FF.

2500FF.


Même coin de droit que l'exemplaire de la collection Côte. Monnaie provenant de la collection Pierre Prieur.
Cette monnaie présente au droit FANCORVM au lieu de FRANCORVM ; cette variété a déjà été signalée par Françoise Dumas qui en illustre un exemplaire provenant de la collection Claudius Côte (n° 999) conservé au Cabinet des médailles. Notre exemplaire a été frappé avec le même coin de droit que l'exemplaire de cette collection .

Charles VII, après son entrée à Paris, va consolider son royaume. Il promulgue le Pragmatique Sanction en 1438 qui fixe le gallicanisme par rapport à la Papauté, garantissant les droits de l'Église de France. L'année suivante, c'est l'organisation de l'armée royale et la fin de l'Ost. Le dauphin Louis se révolte avec les Grands contre son père en 1440. Cette année-là, Gilles de Rais, "Barbe Bleue", le compagnon de Jeanne d'Arc, est exécuté. Jacques Cour devient grand argentier de France. Le traité de Tours instaure une trêve de cinq ans avec les Anglais. En 1449, les hostilités reprennent et Rouen tombe le 10 novembre 1449. Après la bataille de Formigny en 1450, Caen, Saint-Lô et Cherbourg tombent à leur tour. Dunois s'empare de Bayonne et de Bordeaux en 1451, mais Bordeaux est repris par Talbot en 1452. En 1453, la victoire De Castillon et la mort de Talbot met fin à la guerre de Cent Ans. Jacques Cour est arrêté et torturé, condamné, ses biens confisqués. Il s'enfuit auprès du pape à Rome. Louis révolté contre son père doit fuir le Dauphiné pour la Bourgogne en 1457. Charles meurt d'un cancer de la bouche en 1461 .

LORRAINE - DUCHÉ DE LORRAINE - RENÉ Ier D'ANJOU - (1431-1455)
Gros d'argent de Saint-Mihiel 1019. Gros d'argent de Saint-Mihiel, c. 1431-1442, Saint-Mihiel, (Ar, 24,5 mm., 9 h., 2,06 g.) ( )
A/ REnAT*' - D* - BAR' m' P' CO, (ponctuation par simple étoile à 4 rais). René Ier d'Anjou, debout de face, en armure, coiffé de trois roses à 5 pétales, tenant une épée annelée et pointée de la main droite et un écu à cinq quartiers de la gauche.
R/ mOn-ETA - Sx mI-ChA, (ponctuation par deux sautoirs superposés) ; légende extérieure, + SIT nOmEn+ DOmInI+ BEnEDIC', (ponctuation par deux croisettes superposées). Grande croix pattée coupant la légende intérieure.
Bd.1494 (6f.) - S.10/10 - M.2093 - R.1377 - W./F.XVI-7 var, pl.16. Bel exemplaire sur un flan large, légèrement oxydé au revers.
R. TTB / TB+

950FF.

1500FF.


Ce type de pièce est répertorié pour le duché de Bar. René reçut le duché de Bar de son grand-oncle, le cardinal-duc Louis de Bar qui est régent pour le Barrois entre 1419 et 1424. En épousant Isabelle de Lorraine, fille de Charles II, René passa sous la tutelle de son beau-père. À la mort de Charles II, René hérita du duché. Au droit de notre gros, sur l'écu figure un écartelé d'Anjou et de Bar et sur le tout un écu de Lorraine .

René d'Anjou (1409-1480), plus connu sous le nom du "Bon Roi René" fut aussi comte de Provence (1434-1480), duc de Bar (1419-1480). Par son mariage avec Isabelle de Lorraine, la fille du duc Charles, il devînt duc de Lorraine. Il fut aussi roi de Naples (1438-1442), roi titulaire de Sicile et nominal de Jérusalem (1434-1480). En Lorraine, il rencontra l'opposition d'Antoine de Vaudemont jusqu'à l'année 1437. À la mort d'Isabelle en 1453, il confia l'administration du duché de Lorraine à Jean de Calabre .

NAPLES - ROYAUME DE NAPLES - ALPHONSE V D'ARAGON - (1442-1458)
Carlin 1020. Carlin, (Ar, 24,5 mm., 7 h., 3,53 g.) ( )
A/ + ALFOnSVS° D° G° R° AR° S° C° V° F°. Champ écartelé, aux 1 et 4 d'Aragon, aux 2 et 3 tiercé en pal : en 1 de Hongrie, en 2 de Naples et en 3 de Jérusalem.
R/ + DnS° m° ADIVm° ET° EGO° D° I° m°. Alphonse V couronné, assis sur un trône orné de deux lions, tenant de la main droite un sceptre, de la main gauche un globe crucigère ; dans le champ, à gauche du roi, une S.
H. (118/6) - Collection Martinori, n° 2196. Flan légèrement voilé et irrégulier. Haut relief sur l'ensemble de la monnaie.
R. TTB+

950FF.

1500FF.


La lettre S placée dans le champ du droit, à gauche du roi, est interprétée comme un 5 par Aloïss Heiss .

Après la mort de Ladislas en 1414, Jeanne II désigne successivement comme héritiers Alphonse V et Louis III d'Anjou, ce qui sera à l'origine de guerres dynastiques. Alphonse V, roi d'Aragon et de Sicile depuis 1416, sortit victorieux de ces guerres et il récupéra le royaume de Naples en 1442. Alphonse V fut à l'origine de la réunion de Naples et de la Sicile, formant ainsi le premier royaume des Deux-Siciles. Cette unification de Naples et de la Sicile ne survécut pas à la mort d'Alphonse V survenue en 1458 .

BRETAGNE - DUCHÉ DE BRETAGNE - FRANÇOIS II - (1458-1488)
Gros à l'écu 1021. Gros à l'écu, Nantes, N onciale en cour de la croix du revers, (Ar, 26,5 mm., 11 h., 3,39 g.) (pd. th. 3,39 g. titre 916°/°° taille 1/72 marc, 30 dt.. , 11 d., )
A/ +: FRAnCISCVS: BRIAOnVm: DV.X: (étoile à 6 rais):. Écu à six mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 1.
R/ +: SIT: nOmEn: DnI: BEnEDICTVm:. Croix formée de trois traits, les deux latéraux s'élargissant en feuilles, celui du milieu coupé se terminant par un fleuron, cantonnée de quatre points, n en cour.
Bd.135 var. (4f.) - PA.1279 var. (23/16 var.) - DM/B.415 - Bigot 1155-1157 var.. Flan un peu court au revers. Tréflage au revers. Semble complètement inédite et non répertoriée avec cette variété de légende.
R. TTB

950FF.

1500FF.


Le gros à l'écu est sur le modèle du gros de roi : depuis 1457, le change breton était favorable aux espèces bretonnantes sur la base de 14 deniers bretons pour 12 deniers tournois. Sur cette base, cette pièce équivalait peut-être à 40 deniers. Intéressante monnaie avec au droit BRIAOnVM au lieu de BRITOnVM .

François II (1435-1488) est le petit-fils de Jean IV. Il succède à Arthur III (1457-1458) et prête successivement hommage à Charles VII en 1459, puis à Louis XI en 1461. Il fait partie de la Ligue de bien public qui combat Louis en 1465, puis signe la paix avec le roi le 23 décembre 1465. Pendant les douze années suivantes, il louvoie entre le roi de France, le duc de Bourgogne Charles le Téméraire et essaie de s'allier au roi d'Angleterre Édouard IV afin de préserver l'indépendance bretonne. Il se réconcilie avec le roi en 1475, puis en 1477 après la mort de Charles devant Nancy. Après la mort de Louis XI, il soutient le duc d'Orléans contre les Beaujeu dans la régence de Charles VIII. Il forme une ligue contre la France le 13 décembre 1486. Les Français envahissent la Bretagne et font le siège de Nantes. François est définitivement battu à Saint-Aubin de Cormier le 28 juillet 1488. Il meurt de chagrin en septembre, ne laissant que deux filles : Anne et Isabeau .

BRETAGNE - DUCHÉ DE BRETAGNE - FRANÇOIS II - (1458-1488)
Gros à l'écu 1022. Gros à l'écu, Nantes, N onciale en cour de la croix du revers, (Ar, 28 mm., 5 h., 3,64 g.) (pd. th. 3,39 g. titre 916°/°° taille 1/72 marc, 30 dt.. , 11 d., )
A/ +: FRAnCISCVS: BRITOnVm: DVX: n (moucheture d'hermine). Écu à six mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 1.
R/ +: SIT: nOmEn: DnI: BEnEDICTVn (moucheture d'hermine). Croix formée de trois traits, les deux latéraux s'élargissant en feuilles, celui du milieu coupé se terminant par un fleuron, cantonnée de quatre points, n en cour.
Bd.135 var. (4f.) - PA.1271 var. (23/16 var.) - DM/B.415 - Bigot 1163 var.. Légers points d'oxydation au droit, sinon bel exemplaire. Flan large.
R. TTB+

750FF.

1200FF.


Le gros à l'écu est sur le modèle du gros de roi : depuis 1457, le change breton était favorable aux espèces bretonnantes sur la base de 14 deniers bretons pour 12 deniers tournois. Sur cette base, cette pièce équivalait peut-être à 40 deniers. Intéressante variété de légende avec BEnEDICTVn au lieu de BEnEDICTVm .

François II (1435-1488) est le petit-fils de Jean IV. Il succède à Arthur III (1457-1458) et prête successivement hommage à Charles VII en 1459, puis à Louis XI en 1461. Il fait partie de la Ligue de bien public qui combat Louis en 1465, puis signe la paix avec le roi le 23 décembre 1465. Pendant les douze années suivantes, il louvoie entre le roi de France, le duc de Bourgogne Charles le Téméraire et essaie de s'allier au roi d'Angleterre Édouard IV afin de préserver l'indépendance bretonne. Il se réconcilie avec le roi en 1475, puis en 1477 après la mort de Charles devant Nancy. Après la mort de Louis XI, il soutient le duc d'Orléans contre les Beaujeu dans la régence de Charles VIII. Il forme une ligue contre la France le 13 décembre 1486. Les Français envahissent la Bretagne et font le siège de Nantes. François est définitivement battu à Saint-Aubin de Cormier le 28 juillet 1488. Il meurt de chagrin en septembre, ne laissant que deux filles : Anne et Isabeau .

BRETAGNE - DUCHÉ DE BRETAGNE - FRANÇOIS II - (1458-1488)
Gros à l'écu 1023. Gros à l'écu, Rennes, R en cour de la croix du revers, (Ar, 28 mm., 12 h., 3,81 g.) (pd. th. 3,39 g. titre 916°/°° taille 1/72 marc, 30 dt.. , 11 d., )
A/ +: FRAnCISCVS: BRITOnVm: DVX: B : (moucheture d'hermine):. Écu à six mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 1.
R/ +: SIT: nOmEn: DnI: BEnEDICTVm: (moucheture d'hermine):. Croix formée de trois traits, les deux latéraux s'élargissant en feuilles, celui du milieu coupé se terminant par un fleuron, cantonnée de deux points, R en cour.
Bd.1356 (4f.) - PA.1322 var. - DM/B.423 - B.1215-1216 var.. Flan irrégulier avec des petites faiblesses de frappe sur les légendes. Variante de légende de droit qui semble inédite et non répertoriée.
R. TTB / TTB+

750FF.

1200FF.


Le gros à l'écu est sur le modèle du gros de roi : depuis 1457, le change breton était favorable aux espèces bretonnantes sur la base de 14 deniers bretons pour 12 deniers tournois. Sur cette base, cette pièce équivalait peut-être à 40 deniers. Intéressante variété inédite avec DVX: B: en fin de légende du revers alors que les exemplaires recensés dans les ouvrages de référence signalent DVX: R .

François II (1435-1488) est le petit-fils de Jean IV. Il succède à Arthur III (1457-1458) et prête successivement hommage à Charles VII en 1459, puis à Louis XI en 1461. Il fait partie de la Ligue de bien public qui combat Louis en 1465, puis signe la paix avec le roi le 23 décembre 1465. Pendant les douze années suivantes, il louvoie entre le roi de France, le duc de Bourgogne Charles le Téméraire et essaie de s'allier au roi d'Angleterre Édouard IV afin de préserver l'indépendance bretonne. Il se réconcilie avec le roi en 1475, puis en 1477 après la mort de Charles devant Nancy. Après la mort de Louis XI, il soutient le duc d'Orléans contre les Beaujeu dans la régence de Charles VIII. Il forme une ligue contre la France le 13 décembre 1486. Les Français envahissent la Bretagne et font le siège de Nantes. François est définitivement battu à Saint-Aubin de Cormier le 28 juillet 1488. Il meurt de chagrin en septembre, ne laissant que deux filles : Anne et Isabeau .

BRETAGNE - DUCHÉ DE BRETAGNE - FRANÇOIS II - (1458-1488)
Gros à l'écu 1024. Gros à l'écu, Rennes, R en cour de la croix du revers, (Ar, 28 mm., 6 h., 3,62 g.) (pd. th. 3,39 g. titre 916°/°° taille 1/72 marc, 30 dt.. , 11 d., )
A/ + FRAnCISCVS: BRITOnVm: DVX (étoile à 6 rais) R. Écu à six mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 1.
R/ + SIT: nOmEn: DnI: BEnEDICTVm (étoile à 6 rais). Croix formée de trois traits, les deux latéraux s'élargissant en feuilles, celui du milieu coupé se terminant par un fleuron, cantonnée de quatre points, R en cour.
Bd.1356 (4f.) - PA.1327 - DM/B.423 - B.1222. Flan large. Légère oxydation à 9 heures au revers. Très bel exemplaire avec une jolie patine de collection.
R. SUP

1200FF.

2200FF.


Le gros à l'écu est sur le modèle du gros de roi : depuis 1457, le change breton était favorable aux espèces bretonnantes sur la base de 14 deniers bretons pour 12 deniers tournois. Sur cette base, cette pièce équivalait peut-être à 40 deniers .

François II (1435-1488) est le petit-fils de Jean IV. Il succède à Arthur III (1457-1458) et prête successivement hommage à Charles VII en 1459, puis à Louis XI en 1461. Il fait partie de la Ligue de bien public qui combat Louis en 1465, puis signe la paix avec le roi le 23 décembre 1465. Pendant les douze années suivantes, il louvoie entre le roi de France, le duc de Bourgogne Charles le Téméraire et essaie de s'allier au roi d'Angleterre Édouard IV afin de préserver l'indépendance bretonne. Il se réconcilie avec le roi en 1475, puis en 1477 après la mort de Charles devant Nancy. Après la mort de Louis XI, il soutient le duc d'Orléans contre les Beaujeu dans la régence de Charles VIII. Il forme une ligue contre la France le 13 décembre 1486. Les Français envahissent la Bretagne et font le siège de Nantes. François est définitivement battu à Saint-Aubin de Cormier le 28 juillet 1488. Il meurt de chagrin en septembre, ne laissant que deux filles : Anne et Isabeau .

MONNAIES VII
123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133