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PRINCIPAUTÉ DE LUCQUES ET PIOMBINO - FÉLIX BACCIOCHI et ÉLISA BONAPARTE (23/06/1805-11/04/1814)

5 franchi, petits bustes - 1805
N° v09_1646
N° v09_1646 5 franchi, petits bustes - 1805
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Nom de l'atelier : Florence
Quantité frappée : 83.309 exemplaires
Diamètre en mm : 38 mm
Axe des coins : 6 h.
Métal : Argent
Poids observé : 24,92 g.
Poids théorique : 25,00 g.
Taille : 40 kilo
Titre en millième : 900°/oo
Tranche : feuilletée
AVERS
Légende : FELICE ED ELISA PP. DI LUCCA E PIOMBINO..
Traduction : (Félix et Élisa souverains de Lucques et Piombino).
Description : Bustes accolés d'Élisa diadémée et drapée et de Félix tête nue à droite.
REVERS
Légende : PRINCIPATO DI LUCCA E PIOMBINO/ 5/ FRANCHI/ 1805.
Traduction : (Principauté de Lucques et Piombino).
Description : dans une couronne formée de deux branches d'olivier.
N° dans les ouvrages de référence : VG.1472 - Dav.203 - DP.943 - P.251 - G.1
Description état de conservation : Flan large. Très beaux portraits. Jolie patine de collection. Infimes petits plats de listel. Petites marques de manipulation dans le champ. Minuscule coup sur le listel à 11 heures.
Rareté : R État de conservation : SUP Prix de départ 1 000 FRF Prix d'estimation 1 800 FRF
Échelon de qualité : 58
Pedigree :
Cette pièce vient de la vente Burgan, 16 novembre 1985, n° 1001.
Commentaires à propos de ce type monétaire :
Pour 1805, il existe deux variétés de buste et trois variantes de ponctuation avec 83.309 pièces frappées au total pour les 5 variétés.
Historique :
Félix Bacciochi (18/05/1762-28/04/1841) est un compatriote corse de Napoléon. Il épousa Élisa Bonaparte le 1er mai 1797 (3/01/1777-7/08/1820). Élisa, la sœur préférée de Napoléon fut la première dotée d'une principauté le 26 juin 1805. D'abord princesse de Piombino, elle reçoit ensuite la principauté de Lucques. En 1809, est ajoutée la gestion du grand-duché de Toscane. Résidant à Florence, Élisa remplit sa mission et géra avec circonspection les territoires que son frère lui avait confiés. En 1814, elle dut s'enfuir, se réfugia à Bologne, puis à Brünn pendant les Cent-Jours. Elle se retira à Trieste et y mourut en 1820.

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