MONNAIES VIII
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MONNAIE DE CONFIANCE - (1791-1793)
Monneron de 5 sols au serment (An IV)

1761. Monneron de 5 sols au serment (An IV), 1792, Birmingham, Soho, (Cuivre, 39,5 mm, 6 h, 28,87 g).
A/VIVRE LIBRES - OU MOURIR // à l'exergue 14 JUILLET / 1790. dans un cartouche ovale, scène du serment de la Fête de la Fédération avec PACTE FÉDÉRATIF, signé DUPRÉ F..
R/MONNERON FRERES NEGOCIANS A PARIS / 1792. Au centre légende en neuf lignes : MEDAILLE / DE CONFIANCE / DE CINQ-SOLS / REMBOURSABLE / EN ASSIGNATS / DE 50#. ET / AU DESSUS. / - / L'AN IV. DE LA / LIBERTÉ.
Tranche : inscrite en creux : DEPARTEMENS DE PARIS. RHONE ET LOIRE. DU GARD. &c. (tranche A)
G/Augustin Dupré (1748-1833).
Patine foncée. Flan large et régulier.
VG. 291 - Maz. 145 - Br. 223B
TTB+      

Prix de départ/Opening bid
450 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
750 F.F.

Le texte du revers a été modifié pour être en conformité avec la loi sur les domaines nationaux et les monnaies de confiance. La scène représentée rappelle le Serment de la Fête de la Fédération du 14 juillet 1790 qui commémorait la prise de la Bastille et le lien qui unissait la Nation au roi et au Peuple. C'est Talleyrand, à l'époque évêque, qui avait célébré l'office. Selon différents travaux, avec une production dépassant 70 tonnes, nous aurions une fabrication de 2.334.000 pièces avec un poids moyen de 30 grammes par pièce.
Les Frères Monneron firent fabriquer en Angleterre par Matthew Boulton, grâce à la machine à vapeur de Watt, des pièces de 2 et 5 sols en grande quantité dans l'atelier de Soho à Birmingham, à partir de la fin de l'année 1791. Ces monnaies de nécessité auraient dû suppléer à la pénurie monétaire qui régnait en France et leur qualité technique et esthétique était bien supérieure aux médiocres productions officielles contemporaines en métaux vils. En mars 1792, les Monnerons firent faillite et Pierre s'enfuit. Son frère Augustin reprit l'affaire, mais une loi du 3 mai 1792 interdit la fabrication des monnaies privées. En septembre, un décret interdit la commercialisation des pièces de confiance. Ces monnaies de nécessité circulèrent en fait jusqu'à la fin de 1793.

MONNAIE DE CONFIANCE - (1791-1793)
Monneron de 5 sols au serment (An III)

1762. Monneron de 5 sols au serment (An III), 1792, Birmingham, Soho, (Cuivre doré, 39,5 mm, 12 h, 30,34 g).
A/VIVRE LIBRES - OU MOURIR // à l'exergue 14 JUILLET / 1790. dans un cartouche ovale, scène du serment de la Fête de la Fédération avec PACTE FÉDÉRATIF, signé DUPRÉ F..
R/MONNERON FRERES NEGOCIANS A PARIS / 1792. Au centre légende en neuf lignes : MEDAILLE / DE CONFIANCE / DE CINQ-SOLS / REMBOURSABLE / EN ASSIGNATS / DE 50#. ET / AU DESSUS. / - / L'AN III. DE LA / LIBERTÉ.
Tranche : inscrite en creux : DEPARTEMENS DE PARIS. RHONE ET LOIRE. DU GARD. &c. (tranche A)
G/Augustin Dupré (1748-1833).
La dorure a disparu des parties les plus en relief. Flan large et régulier.
VG. 289 var. - Maz. 144 - Br. 223b
TTB+      

Prix de départ/Opening bid
950 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
1500 F.F.

Le texte du revers a été modifié pour être en conformité avec la loi sur les domaines nationaux et les monnaies de confiance. La scène représentée rappelle le Serment de la Fête de la Fédération du 14 juillet 1790 qui commémorait la prise de la Bastille et le lien qui unissait la Nation au roi et au Peuple. C'est Talleyrand, à l'époque évêque, qui avait célébré l'office. Selon différents travaux, avec une production dépassant 70 tonnes, nous aurions une fabrication de 2.334.000 pièces avec un poids moyen de 30 grammes par pièce.
Les Frères Monneron firent fabriquer en Angleterre par Matthew Boulton, grâce à la machine à vapeur de Watt, des pièces de 2 et 5 sols en grande quantité dans l'atelier de Soho à Birmingham, à partir de la fin de l'année 1791. Ces monnaies de nécessité auraient dû suppléer à la pénurie monétaire qui régnait en France et leur qualité technique et esthétique était bien supérieure aux médiocres productions officielles contemporaines en métaux vils. En mars 1792, les Monnerons firent faillite et Pierre s'enfuit. Son frère Augustin reprit l'affaire, mais une loi du 3 mai 1792 interdit la fabrication des monnaies privées. En septembre, un décret interdit la commercialisation des pièces de confiance. Ces monnaies de nécessité circulèrent en fait jusqu'à la fin de 1793.

MONNAIE DE CONFIANCE - (1791-1793)
Monneron de 5 sols au serment (An IV)

1763. Monneron de 5 sols au serment (An IV), 1792, Birmingham, Soho, (Cuivre doré, 40 mm, 6 h, 28,24 g).
A/VIVRE LIBRES - OU MOURIR // à l'exergue 14 JUILLET / 1790. dans un cartouche ovale, scène du serment de la Fête de la Fédération avec PACTE FÉDÉRATIF, signé DUPRÉ F..
R/MONNERON FRERES NEGOCIANS A PARIS / 1792. Au centre légende en neuf lignes : MEDAILLE / DE CONFIANCE / DE CINQ-SOLS / REMBOURSABLE / EN ASSIGNATS / DE 50#. ET / AU DESSUS. / - / L'AN IV. DE LA / LIBERTÉ.
Tranche : inscrite en creux : DEPARTEMENS DE PARIS. RHONE ET LOIRE. DU GARD. &c. (tranche B)
G/Augustin Dupré (1748-1833).
Très haut relief au droit et au revers. La dorure est légère et presque absente.
VG. 291 var. - Maz. 146 - Br. 223Bb
SUP      

Prix de départ/Opening bid
650 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
950 F.F.

Le texte du revers a été modifié pour être en conformité avec la loi sur les domaines nationaux et les monnaies de confiance. La scène représentée rappelle le Serment de la Fête de la Fédération du 14 juillet 1790 qui commémorait la prise de la Bastille et le lien qui unissait la Nation au roi et au Peuple. C'est Talleyrand, à l'époque évêque, qui avait célébré l'office. Selon différents travaux, avec une production dépassant 70 tonnes, nous aurions une fabrication de 2.334.000 pièces avec un poids moyen de 30 grammes par pièce.
Les Frères Monneron firent fabriquer en Angleterre par Matthew Boulton, grâce à la machine à vapeur de Watt, des pièces de 2 et 5 sols en grande quantité dans l'atelier de Soho à Birmingham, à partir de la fin de l'année 1791. Ces monnaies de nécessité auraient dû suppléer à la pénurie monétaire qui régnait en France et leur qualité technique et esthétique était bien supérieure aux médiocres productions officielles contemporaines en métaux vils. En mars 1792, les Monnerons firent faillite et Pierre s'enfuit. Son frère Augustin reprit l'affaire, mais une loi du 3 mai 1792 interdit la fabrication des monnaies privées. En septembre, un décret interdit la commercialisation des pièces de confiance. Ces monnaies de nécessité circulèrent en fait jusqu'à la fin de 1793.

PACTE FÉDÉRATIF - MÉDAILLE -  
Médaille du pacte fédératif

1764. Médaille du pacte fédératif, 1790, (Cuivre doré, 50 mm, 12 h, 12,6 g).
A/PACTE FÉDÉRATIF // à l'exergue 14 JUILLET / 1790. Scène du serment de la Fête de la Fédération, signé DUPRÉ F..
R/NOUS JURONS / DE MAINTENIR / DE TOUT NOTRE / POUVOIR LA / CONSTITUTION / DU ROYAUME. dans une couronne formée d'une branche de chêne et d'une branche d'olivier.
Tranche : lisse. G/Augustin Dupré (1748-1833).
Médaille avec sa bélière présentant un haut relief aussi bien au droit qu'au revers. Le seul défaut tient à de petites taches.
H. 165 p. 120 (19/165)
SPL      

Prix de départ/Opening bid
800 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
1200 F.F.

Le motif du droit est identique à celui qui se retrouve sur les 5 sols des frères Monneron. Nous y trouvons toutefois quelques différences comme un faisceau de licteur placé sur l'obélisque pour bien des drapeaux supplémentaires en arrière-plan de l'assistance. Hennin consacre une longue notice à cette médaille du pacte fédératif : 'M. Augustin Dupré grava cette médaille sans qu'elle lui eût été ordonnée. Il la présenta à la commission chargée de l'examen des papiers des fédérés à leur arrivée à Paris, qui agréa cette offre. Cette médaille, qui parut dans les premiers jours de juillet (Journal de Paris du 8 juillet 1790), est d'un grand travail très fin et fit beaucoup d'honneur à cet artiste. Elle eust un grand succès à cette époque, et il en fut vendu trois milles épreuves tant en or qu'en argent et en cuivre doré. Cent mille épreuves allaient être frappées pour être distribuées aux armées, lorsque le coin cassa sous le balancier, ce qui retarda cette opération, qui fut alors oubliée'.

MONNAIE DE CONFIANCE - (1791-1793)
Monneron de 2 sols à la Liberté

1765. Monneron de 2 sols à la Liberté, 1792, Birmingham, Soho, (Cuivre, 32 mm, 6 h, 15,90 g).
A/LIBERTÉ - SOUS LA LOI. Liberté assise à gauche, appuyée sur la Déclaration des Droits de l'Homme ; à l'exergue : L'AN IV. DE LA / LIBERTÉ, sur la table de la loi : DROITS / DE / L'HOMME / ARTIC. / V..
R/REVOLUTION FRANCAISE / 1792. Au centre légende en six lignes : MEDAILLE / QUI SE VEND / DEUX-SOLS / A PARIS CHEZ / MONNERON / (PATENTÉ).
Tranche : inscrite en creux : LA. CONFIANCE. AUGMENTE. LA. VALEUR. (tranche A)
G/Augustin Dupré (1748-1833).
Très haut relief au droit et au revers. Aucune trace de circulation n'est visible. Tranche remarquablement bien venue.
VG. 299 - Maz. 157 - Br. 222c (R)
SPL      

Prix de départ/Opening bid
750 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
1200 F.F.

Le monneron de 2 sols fut frappé en 1791 et 1792. Au total, d'après certains travaux, plus de 45 tonnes auraient été frappées dans l'atelier de Soho près de Birmingham, soit plus de 2.640.000 pièces. Elles étaient fabriquées à l'aide d'un balancier alimenté par une machine à vapeur développée par Mr Watt.
Les Frères Monneron firent fabriquer en Angleterre par Matthew Boulton, grâce à la machine à vapeur de Watt, des pièces de 2 et 5 sols en grande quantité dans l'atelier de Soho à Birmingham, à partir de la fin de l'année 1791. Ces monnaies de nécessité auraient dû suppléer à la pénurie monétaire qui régnait en France et leur qualité technique et esthétique était bien supérieure aux médiocres productions officielles contemporaines en métaux vils. En mars 1792, les Monnerons firent faillite et Pierre s'enfuit. Son frère Augustin reprit l'affaire, mais une loi du 3 mai 1792 interdit la fabrication des monnaies privées. En septembre, un décret interdit la commercialisation des pièces de confiance. Ces monnaies de nécessité circulèrent en fait jusqu'à la fin de 1793.

LA CONVENTION - (21/09/1792-26/10/1795)
Six livres au génie

1766. Six livres au génie, 1793, Paris, 1er semestre, A dans le champ du droit, (Argent, 38,5 mm, 6 h, 29,30 g), (poids théorique 29,488 g, titre : 917 ‰, taille 1/8 3/10 marc, 6 lt., titre ancien : 11 d.).
A/.REPUBLIQUE FRANÇOISE / (Mg). L'AN II. (Mm). SIX / LIVRES / - / A dans le champ dans une couronne de chêne.
R/REGNE - DE LA LOI, à l'exergue 1793.. Génie gravant le mot CONSTI/TUTION sur une table de la loi reposant sur un autel, à gauche un faisceau de licteur sommé d'un bonnet phrygien, à droite un coq.
Tranche : inscrite en relief : LIBERTE EGALITE. (tranche A)
M/Léopard à gauche après L'AN II = Louis Alexandre Röettiers de Montaleau (1791-1793). MG/Lyre avant L'AN = François Bernier (1774-1793). GG/Augustin Dupré (1791-1803). G/Augustin Dupré (1748-1833).
Flan large et régulier. Usure régulière. Infimes petits coups dans le champ.
SCF. 50 (447 ex.) - Sobin 133 (R1) - R. 78/1
TTB      

Prix de départ/Opening bid
1800 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
2800 F.F.

Ce type est fabriqué suite au décret du 5 février 1793. D'après F. Droulers 2.927.000 écus furent frappés dont seulement 194.334 pièces entre la fin septembre et le 19 novembre 1793, date de la fermeture de l'atelier après l'arrestation de Röettiers de Montaleau. Nous avons encore une fois un taux anormalement élevé pour ce millésime avec un écu retrouvé pour 7.000 pièces frappées.
La république est proclamée le 22 septembre 1792 par la Convention. La France déclare la guerre à l'Angleterre, à la Hollande et à l'Espagne en février et mars 1793. La première coalition contre la France est composée de l'Angleterre, la Hollande, l'Autriche, la Russie, l'Espagne, la Prusse, l'Autriche et la Savoie. Les Français annexent la Rhénanie et Bâle. Dumouriez, battu à Neerwinden le 18 mars, décrété d'accusation, passe à l'ennemi. Le 10 mars 1793, le Tribunal Révolutionnaire est mis en place, puis le Comité de Salut Public le 6 avril. Marat est assassiné par Charlotte Corday le 13 juillet 1793. La fin du gouvernement des girondins les 31 mai et 2 juin amène leur jugement et leur exécution le 31 octobre. C'est le début du mouvement fédéraliste en province. Marseille est prise le 25 août et Lyon le 17 octobre. Les Vendéens, qui avaient pris Saumur le 9 juin, sont écrasés à Cholet le 17 octobre. La levée en masse est décrétée le 23 août. Le 5 septembre, la Convention décrète la Terreur.

LA CONVENTION - (21/09/1792-26/10/1795)
Six livres au génie

1767. Six livres au génie, 1793, Paris, 1er semestre, A dans le champ du droit, (Argent, 38,5 mm, 6 h, 29,61 g), (poids théorique 29,488 g, titre : 917 ‰, taille 1/8 3/10 marc, 6 lt., titre ancien : 11 d.).
A/.REPUBLIQUE FRANÇOISE / (Mg). L'AN II. (Mm). SIX / LIVRES / - / A dans le champ dans une couronne de chêne.
R/REGNE - DE LA LOI, à l'exergue 1793.. Génie gravant le mot CONSTI/TUTION sur une table de la loi reposant sur un autel, à gauche un faisceau de licteur sommé d'un bonnet phrygien, à droite un coq.
Tranche : inscrite en relief : LIBERTE EGALITE. (tranche B)
M/Léopard à gauche après L'AN II = Louis Alexandre Röettiers de Montaleau (1791-1793). MG/Lyre avant L'AN = François Bernier (1774-1793). GG/Augustin Dupré (1791-1803). G/Augustin Dupré (1748-1833).
Flan large et régulier. Patine foncée. Stries d'ajustage dans le champ du revers. Poids lourd.
SCF. 50 (447 ex.) - Sobin 133 (R1) - R. 78/1
TB+      

Prix de départ/Opening bid
1200 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
2200 F.F.

Ce type est fabriqué suite au décret du 5 février 1793. D'après F. Droulers 2.927.000 écus furent frappés dont seulement 194.334 pièces entre la fin septembre et le 19 novembre 1793, date de la fermeture de l'atelier après l'arrestation de Röettiers de Montaleau. Nous avons encore une fois un taux anormalement élevé pour ce millésime avec un écu retrouvé pour 7.000 pièces frappées.
La république est proclamée le 22 septembre 1792 par la Convention. La France déclare la guerre à l'Angleterre, à la Hollande et à l'Espagne en février et mars 1793. La première coalition contre la France est composée de l'Angleterre, la Hollande, l'Autriche, la Russie, l'Espagne, la Prusse, l'Autriche et la Savoie. Les Français annexent la Rhénanie et Bâle. Dumouriez, battu à Neerwinden le 18 mars, décrété d'accusation, passe à l'ennemi. Le 10 mars 1793, le Tribunal Révolutionnaire est mis en place, puis le Comité de Salut Public le 6 avril. Marat est assassiné par Charlotte Corday le 13 juillet 1793. La fin du gouvernement des girondins les 31 mai et 2 juin amène leur jugement et leur exécution le 31 octobre. C'est le début du mouvement fédéraliste en province. Marseille est prise le 25 août et Lyon le 17 octobre. Les Vendéens, qui avaient pris Saumur le 9 juin, sont écrasés à Cholet le 17 octobre. La levée en masse est décrétée le 23 août. Le 5 septembre, la Convention décrète la Terreur.

TRIBUNAL DE PREMIÈRE INSTANCE -  
Médaille, tribunal de première instance

1768. Médaille, tribunal de première instance, (Cuivre doré, 47 mm, 12 h, 22,85 g).
A/.REPUBLIQUE FRANÇAISE.. La République, la tête tournée à gauche, tenant de la main droite un faisceau de licteur, de la main gauche une pique sommée d'un bonnet phrygien ; la République repose sur un socle portant une main de justice, un miroir, une balance et un serpent ; au-dessous MAURISSET..
R/ACTION / DE LA LOI / - / TRIBUNAL / DE PREMIERE / INSTANCE. En six lignes, dans une couronne et chêne et de laurier : au-dessous M.
Tranche : lisse. (tranche B)
G/MAURISSET et M = Jean Théodore Maurisset (1765-1825).
Le ruban bleu/blanc/rouge est coupé dans sa partie supérieure. Très haut relief au droit et au revers.
Forrer p. 626
SUP      

Prix de départ/Opening bid
1500 F.F.

Prix d'estimation/Estimate
2500 F.F.

Des médailles des avoués et des huissiers du tribunal de première instance sont également connues (Coll. Julius n° 1028-1029) pour la période 1801-1802. D'après Forrer, Jean Théodore Maurisset, auteur de cette médaille, grava en 1800 une médaille pour la Cour d'appel, en 1805 une médaille pour la visite à Paris de Pie VII et une autre médaille pour le tribunal de première instance mais cette fois-ci avec le millésime 1805.
Les tribunaux de première instance ou d'arrondissement sont chargés de statuer sur les matières civiles et correctionnelles. Ces tribunaux peuvent juger en première et dernière instance sur des sommes modiques.


MONNAIES VIII
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