VSO 09

Version Française

PRINCIPAUTÉ DE LUCQUES ET PIOMBINO - FÉLIX BACCIOCHI et ÉLISA BONAPARTE (23/06/1805-11/04/1814)

5 franchi, grands bustes - 1808/7
N° v09_1648 Click on the picture to enlarge.	Mint name : Florence Mintage : 174.960 exemplaires Diameter in mm : 37,5 mm Die axis : 6 h. Metal : Argent Actual weight : 25,00 g. Legal weight : 25,00 g. Pieces to the mark : 40 kilo Fineness per thousand : 900°/oo Description of rim : feuilletée

OBVERSE	Legend : FELICE ED ELISA PP. DI LUCCA E PIOMBINO.. Translation : (Félix et Élisa souverains de Lucques et Piombino). Description : Bustes accolés d'Élisa diadémée et drapée et de Félix tête nue à droite.
REVERSE	Legend : PRINCIPATO DI LUCCA E PIOMBINO./ 5/ FRANCHI/ 1808. Translation : (Principauté de Lucques et Piombino). Description : dans une couronne formée de deux branches d'olivier.

Reference number in specialised litterature : VG.1480 - Dav.203 - DP.943 - P.254 a - G.4 a

Description of the condition of the coin : Portraits magnifiques. Patine avec un aspect glacé à reflets acier et mordorés. Au revers, infime petite marque sur le grènetis à 1 heure.

Rarity level : RR	Condition :	SPL	Starting price	2 200 FRF	Estimate	3 500 FRF
	Grade (Sheldon) :	63

Pedigree : Cet exemplaire vient de la collection du Dr. M. G. et de la vente Burgan, 9 avril 1988, n° 686. About this coin : Au revers, le second 8 du millésime est regravé sur le 7 de 1807. Cette variété ne semble pas signalée dans les ouvrages italiens consultés.

About this type : Pour 1808, nous avons deux variétés de buste seulement.

History : Félix Bacciochi (18/05/1762-28/04/1841) est un compatriote corse de Napoléon. Il épousa Élisa Bonaparte le 1er mai 1797 (3/01/1777-7/08/1820). Élisa, la sœur préférée de Napoléon fut la première dotée d'une principauté le 26 juin 1805. D'abord princesse de Piombino, elle reçoit ensuite la principauté de Lucques. En 1809, est ajoutée la gestion du grand-duché de Toscane. Résidant à Florence, Élisa remplit sa mission et géra avec circonspection les territoires que son frère lui avait confiés. En 1814, elle dut s'enfuir, se réfugia à Bologne, puis à Brünn pendant les Cent-Jours. Elle se retira à Trieste et y mourut en 1820.

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