MONNAIES VIII
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MASSALIA - MARSEILLE - (220-49 avant J.-C) |
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850. Drachme légère, 220-49 AC,
étalon campanien, groupe 2, série 9,
(Argent, 15 mm, 6 h, 2,64 g), (poids théorique 2,88 g).
La série 9 (8 de Marseille) est la dernière du groupe 2 pour le monnayage de Marseille et la plus importante puisqu'elle comporte plus de 20 variétés différentes. La reprise de la frappe des drachmes se place au moment de la Seconde Guerre Punique (221-202 AC.). Marseille, alliée fidèle de Rome, fournit souvent des bateaux et combattit la flotte carthaginoise. Pendant cette période, la frappe de l'obole s'arrêta mais la production des drachmes fut très importante. Pour remplacer les petites monnaies d'argent disparues, on commença à frapper du bronze. Claude Brenot indiquait en 1980 que Marseille adopta l'étalon corinthien pour cette drachme (le poids particulier du statère corinthien est de 8,64 g environ, divisé en 3 et non pas 2 drachmes), ce qui donne un poids moyen de 2,88 g pour la drachme légère de Marseille. Cette drachme corinthienne correspond aussi à la drachme d'étalon campanien ou italo tarentin réduit. |
MASSALIA - MARSEILLE - (220-49 avant J.-C) |
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851. Drachme légère, 220-49 AC,
étalon campanien, groupe 3, série 13,
(Argent, 16 mm, 6 h, 2,74 g), (poids théorique 2,88 g).
La reprise de la frappe des drachmes se place au moment de la Seconde Guerre Punique (221-202 AC.). Marseille, alliée fidèle de Rome, fournit souvent des bateaux et combattit la flotte carthaginoise. Pendant cette période, la frappe de l'obole s'arrêta mais la production des drachmes fut très importante. Pour remplacer les petites monnaies d'argent disparues, on commença à frapper du bronze. Claude Brenot indiquait en 1980 que Marseille adopta l'étalon corinthien pour cette drachme (le poids particulier du statère corinthien est de 8,64 g environ, divisé en 3 et non pas 2 drachmes), ce qui donne un poids moyen de 2,88 g pour la drachme légère de Marseille. Cette drachme corinthienne correspond aussi à la drachme d'étalon campanien ou italo tarentin réduit. |
MASSALIA - MARSEILLE - (220-49 avant J.-C) |
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852. Drachme légère, 220-49 AC,
étalon campanien, groupe 3, série 17,
(Argent, 16 mm, 6 h, 2,50 g), (poids théorique 2,88 g).
D'après les conclusions de Claude Brenot, basées sur l'article d'Andreas Alföldi, les deniers de Valerius Flaccus frappés à Marseille et les dernières émissions de drachmes massaliotes, RN. 1969, p. 55-61, cette série 15 (14 du musée de Marseille) serait contemporaine de l'émission du denier romain : 'le traitement de la coiffure et le drapé du vêtement invitent à rapprocher ce buste de celui de la Victoire des deniers de Valerius Flaccus dont la frappe est attribuée à l'atelier de Marseille' en 82 avant J.-C. La reprise de la frappe des drachmes se place au moment de la Seconde Guerre Punique (221-202 AC.). Marseille, alliée fidèle de Rome, fournit souvent des bateaux et combattit la flotte carthaginoise. Pendant cette période, la frappe de l'obole s'arrêta mais la production des drachmes fut très importante. Pour remplacer les petites monnaies d'argent disparues, on commença à frapper du bronze. Claude Brenot indiquait en 1980 que Marseille adopta l'étalon corinthien pour cette drachme (le poids particulier du statère corinthien est de 8,64 g environ, divisé en 3 et non pas 2 drachmes), ce qui donne un poids moyen de 2,88 g pour la drachme légère de Marseille. Cette drachme corinthienne correspond aussi à la drachme d'étalon campanien ou italo tarentin réduit. |
MASSALIA - MARSEILLE - (220-49 avant J.-C) |
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853. Drachme légère, 220-49 AC,
étalon campanien, groupe 3, série 15,
(Argent, 15,00 mm, 6 h, 2,42 g), (poids théorique 2,88 g).
La reprise de la frappe des drachmes se place au moment de la Seconde Guerre Punique (221-202 AC.). Marseille, alliée fidèle de Rome, fournit souvent des bateaux et combattit la flotte carthaginoise. Pendant cette période, la frappe de l'obole s'arrêta mais la production des drachmes fut très importante. Pour remplacer les petites monnaies d'argent disparues, on commença à frapper du bronze. Claude Brenot indiquait en 1980 que Marseille adopta l'étalon corinthien pour cette drachme (le poids particulier du statère corinthien est de 8,64 g environ, divisé en 3 et non pas 2 drachmes), ce qui donne un poids moyen de 2,88 g pour la drachme légère de Marseille. Cette drachme corinthienne correspond aussi à la drachme d'étalon campanien ou italo tarentin réduit. |
MASSALIA - MARSEILLE - (220-49 avant J.-C) |
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854. Drachme légère, 220-49 AC,
étalon campanien, groupe 3, série 19,
(Argent, 15,5 mm, 6 h, 2,76 g), (poids théorique 2,88 g).
La marque de l'avers semble être en rapport avec les oboles du groupe 3, série 18, qui présentent le même type de A au revers (Br/M. E6 - Br/L.136). La marque de revers est signalée pour une drachme incuse du Cabinet des médailles de Paris. La reprise de la frappe des drachmes se place au moment de la Seconde Guerre Punique (221-202 AC.). Marseille, alliée fidèle de Rome, fournit souvent des bateaux et combattit la flotte carthaginoise. Pendant cette période, la frappe de l'obole s'arrêta mais la production des drachmes fut très importante. Pour remplacer les petites monnaies d'argent disparues, on commença à frapper du bronze. Claude Brenot indiquait en 1980 que Marseille adopta l'étalon corinthien pour cette drachme (le poids particulier du statère corinthien est de 8,64 g environ, divisé en 3 et non pas 2 drachmes), ce qui donne un poids moyen de 2,88 g pour la drachme légère de Marseille. Cette drachme corinthienne correspond aussi à la drachme d'étalon campanien ou italo tarentin réduit. |
MASSALIA - MARSEILLE - (220-49 avant J.-C) |
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855. Drachme légère, 220-49 AC,
étalon campanien, groupe 3, série 17 ?,
(Argent, 15 mm, 5 h, 2,62 g), (poids théorique 2,88 g).
Plusieurs drachmes des séries 14 et 15 du Cabinet des médailles de Marseille présentent des similitudes avec cette drachme. Le style du lion est très proche de la série 14, mais néanmoins, la pièce est inclassable en dehors peut-être des séries 19 et 20 du Cabinet des médailles de Lyon. Le revers est complètement différent. La reprise de la frappe des drachmes se place au moment de la Seconde Guerre Punique (221-202 AC.). Marseille, alliée fidèle de Rome, fournit souvent des bateaux et combattit la flotte carthaginoise. Pendant cette période, la frappe de l'obole s'arrêta mais la production des drachmes fut très importante. Pour remplacer les petites monnaies d'argent disparues, on commença à frapper du bronze. Claude Brenot indiquait en 1980 que Marseille adopta l'étalon corinthien pour cette drachme (le poids particulier du statère corinthien est de 8,64 g environ, divisé en 3 et non pas 2 drachmes), ce qui donne un poids moyen de 2,88 g pour la drachme légère de Marseille. Cette drachme corinthienne correspond aussi à la drachme d'étalon campanien ou italo tarentin réduit. |
MASSALIA - MARSEILLE - (IIIe siècle avant J.-C.) |
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856. Bronze lourd au taureau, (hémilitron), c. 220-215 AC,
étalon syracusain ?, groupe 1, série 1, différent I,
(Bronze, 27,00 mm, 6 h, 16,42 g), (poids théorique 17,28 g).
La série 1 des bronzes lourds au taureau avec le symbole au droit seulement est particulièrement lourde avec un poids moyen de 15, 57 g. Le différent I avec la torche verticale n'était répertorié que par l'unique exemplaire du Cabinet des médailles de Lyon qui pèse 16,23 g. Il est possible que l'étalon employé pour cette première série ait été l'étalon syracusain (ou attique), abandonné dès 212-211 avant J.-C. après la chute de Syracuse. Le monnayage de bronze ne commença pas avant la seconde Guerre Punique (221-202 AC.). Le type du revers pourrait avoir été emprunté à la cité de Thurium, fondée en 443 avant J.-C. sur le site de l'antique Sybaris détruite en 510 avant J.-C. Cette cité était l'alliée privilégiée de Marseille. |
MONNAIES VIII
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